On peut rire de tout, même de l’inexorable déchéance qui nous attend tous… Faute de pouvoir conjurer ces deux maux, il faut rire de la vieillesse et de la maladie. Sans se moquer, évidemment, des vieux et des malades que nous serons tous tôt ou tard. Molière ne se moquait pas des vieux, mais seulement des vieux cons (comme Arnolphe dans l’École des Femmes). Il ne se moquait pas des malades, mais seulement des “malades imaginaires”.
En un lieu clos mystérieux, qui pourrait être un asile de fous... ou encore le théâtre du monde, sont détenus quelques parias ayant perdu la Foi. La Foi en Dieu, mais aussi la croyance en tous les principes sur lesquels repose notre société. Et si le créateur lui-même ne croyait plus en sa création ? Il est urgent de remotiver ces incrédules avant qu’un scepticisme contagieux n’entraîne l’effondrement général du système...
L’hôpital était presque parfait… Le crime aussi. Une comédie policière teintée d’humour noir.
Si la vieillesse est un naufrage, la vie peut être comparée à une croisière sur le Titanic. Certains se prélassent dans des transats sur le pont, pendant que les autres rament dans la soute. Mais tout le monde finira par servir de nourriture aux poissons. Alors en attendant l’inévitable rencontre avec un iceberg, autant faire tinter les glaçons dans son verre. La première sitcom métaphysique dont l’action se situe dans une maison de retraite médicalisée.
Patrick est dans un coma profond suite à un accident. Ses proches depuis longtemps perdus de vue sont appelés à son chevet pour statuer sur son sort. Cette décision est d’autant plus difficile que le patient s’avère détenteur d’un secret qui pourrait rapporter gros…
Dans un lit d’hôpital, un homme qui a perdu la mémoire à la suite d’une opération de la dernière chance, voit défiler toutes les femmes qu’il a oubliées. L’une d’elles serait-elle la femme de sa vie ?