Si on choisit plus ou moins ses amis, et qu’on peut toujours en changer, on ne choisit pas sa famille, et le plus souvent, on doit faire avec, avant de pouvoir éventuellement faire sans. La famille, lieu de solidarité et de cruauté, objet d’amour et de haine, vecteur de réconfort et de tourment, est un des sujets classiques de la comédie au théâtre
Deux frères et deux sœurs qui ne se voient plus guère se retrouvent une dernière fois dans la maison de vacances familiale pour la vendre, après le décès de leur mère. Mais les comptes qu’ils ont à régler ne sont pas seulement financiers…
Quand on a abandonné sa fiancée un an auparavant à quelques jours du mariage en lui laissant pour toute explication un post-it sur le réfrigérateur, mieux vaut ne jamais revenir…
Ayant invité le père et la mère du fiancé de leur fille afin de faire connaissance et préparer le mariage, ils découvrent que les parents du gendre idéal ne sont pas toujours des beaux-parents idéaux…
Frédéric, peintre désargenté, refuse par amour propre l’argent sale que lui laisse son père après sa disparition. Mais en refusant par fierté cet héritage que lui lègue un père qui l’a abandonné lorsqu’il avait cinq ans, il entre en conflit avec sa compagne et avec sa sœur, moins regardantes sur l’origine de cette fortune inespérée, qu’elles ont toutes deux de bonnes raisons de ne pas vouloir laisser filer. Qui est vraiment cet homme venu leur proposer dix millions en l’échange d’une simple signature, et quelle est l’origine exacte de ces fonds ? À chacun sa vérité…
Diane présente à ses parents Karim, son fiancé. Agacé par l’attitude pour le moins condescendante de sa future belle-famille, un peu trop fière de son ascendance française qui remonterait jusqu’au Moyen âge, Karim met au défi Diane de prouver par un test ADN la pureté de ses origines ethniques. Ce test aux résultats inattendus va déclencher une réaction en chaîne…