Comment les cigarettes qui font rire ne constitueraient-elles pas un argument de comédie ? Drogue “douce” mais restant néanmoins prohibée dans nombre de pays (dont la France), le cannabis participe d’une certaine hypocrisie sociale : les parents redoutent que leurs enfants en consomment… alors qu’ils en ont consommé eux-mêmes à leur âge, voire qu’ils en consomment encore à l’occasion en cachette. Les temps changent cependant : aujourd’hui, ce sont les parents qui se cachent pour fumer.
À la boutique du monastère dont les ventes financent les bonnes œuvres des frères, le célèbre Élixir de Sainte Marie-Jeanne aux nombreuses vertus ne fait plus recette. Jusqu’au jour où un moine a l’idée d’ajouter une herbe mystérieuse à la préparation. Le succès du nouveau cordial est stupéfiant. Le dernier miracle de Marie-Jeanne ?
À la boutique du couvent dont les ventes financent les bonnes œuvres des Sœurs, le célèbre Élixir de Sainte Marie-Jeanne aux nombreuses vertus ne fait plus recette. Jusqu’au jour où une Sœur a l’idée d’ajouter une herbe mystérieuse à la préparation. Le succès du nouveau cordial est stupéfiant. Le dernier miracle de Marie-Jeanne ?
Kimberley a hérité de sa grand-mère la recette secrète de ses fameux cookies. À la veille de Noël, avec sa meilleure amie Jennifer, Kimberley s’apprête à ouvrir un salon de thé au pied de l’immeuble où habitait Mamy Yoyo. Un projet qui lui tient à cœur, dans lequel elle a investi toutes ses économies. Mais un promoteur sans scrupule est prêt à tout pour racheter sa boutique, afin de raser le bâtiment pour construire à la place une résidence de luxe. Kimberley parviendra-t-elle à surmonter ces épreuves, et à trouver enfin l’amour ? Un vrai scénario de téléfilm de Noël… en pire.
Fuyant le stress de la vie parisienne, Alban et Eve se sont installés dans une ancienne ferme où, pour rompre un peu l’isolement et arrondir leurs fins de mois, ils ont aménagé une chambre d’hôtes. Mais leur premier couple de clients arrive, et ils vont bientôt découvrir que dans ce petit coin de paradis, l’enfer, c’est les hôtes…